dimanche 12 juillet 2015

Contrairement aux Islamistes, Poutine chasse Soros et BHL de Russie.




La Russie va enquêter sur les activités des ONG philanthropiques. Douze ONG seront examinées pour déterminer si elles devraient être incluses dans le registre des organisations indésirables en Russie.


Dans les cercles libéraux respectables de l’Amérique Blue State [parti démocrate, NdT], George Soros est connu comme un vieil homme riche et bon, mécène important du Center for American Progress – la version démocrate de la faillite intellectuelle progressiste de la Fondation néo-conservatrice républicaine The Heritage Foundation. (En bref : ces deux think tanks odieux vendent la même soupe néo-con satanique sur la suprématie de l’homme blanc.)

Tragiquement, certains pays mal intentionnés et complices de l’axe du Mal ne se rendent pas pleinement compte de toutes les belles choses que cette généreuse fondation, lourdement investie dans le discours Raytheon – entreprise multinationale de l’armement démocrate qui promeut chaque jour la liberté – qui habituellement ne peut être atteinte qu’en utilisant contre les civils les armes meurtrières fabriquées par qui ? Par Raytheon [1], bingo.
Un de ces pays est particulièrement concerné, la Russie bien sûr.
L’Open Society Fondation [2] de Soros, avec 11 autres ONG, a été placée sur une stop liste par la chambre haute du parlement russe, le Conseil de la Fédération, et affrontera maintenant l’examen du Bureau du Procureur général, du ministère des Affaires étrangères, et du ministère de la Justice.
Si l’enquête conclut que George Soros est un vil sous-marin des intérêts du Département d’État US et de la CIA – et c’est probable – la Fondation Open Society sera déclarée dans le registre des organisations indésirables en Russie.
Cela signifie que la fondation de George Soros travaillant pour le changement de régime en Russie devra s’enregistrer comme un agent étranger et changer d’activité si elle veut rester là-bas.
Le plus tôt sera le mieux.

SOROS et le "Printemps Arabe"


Les manifestations en Tunisie et Égypte ont été allumées par des bloggueurs ayant bénéficié des formations de l’Open Society Institute de George Soros et les programmes du Département d’Etat étatsunien développés par Hillary Clinton, notamment le 21st Century Statecraft (TechCamps, les stages ou camps technologiques) et l’Initiative société civile 2.0. (Voir Printemps arabe » , CIA et cyber-collabos). Le but premier des «révolutions» tunisienne et égyptienne était certes de démettre des régimes pas suffisamment engagés au profit des Etats-Unis et d’Israël mais surtout de placer des pions prêts à abattre Kadhafi, l’ennemi numéro 1 des États-Unis et de l’Occident qui n’avaient pas vraiment enterré la hache de guerre avec le guide malgré les salamalecs. Outre les organisations publiques américaines chargées du «printemps arabe», il y a donc plusieurs organisations non gouvernementales dont celles du milliardaire George Soros. Soros est derrière un nombre impressionnant de fondations, d’instituts, de think-tanks et de médias. Il a créé l'Open Society Institute et la Fondation Soros, dont l'objectif affiché est la «promotion de la démocratie». Il a financé Otpor contre le «régime» pro-russe de Slobodan Milosevic en Serbie, la CEDAR qui est le premier réseau européen de professionnels musulmans, la GayFest (le festival gay annuel de Bucarest en Roumanie), le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), ainsi que le mouvement Femen de nudistes qui se rebellent contre les valeurs chrétiennes du mariage. Responsable de krachs boursiers et «mécène» dans une cinquantaine de pays, il détient aujourd’hui une fortune évaluée à sept milliards de dollars. ... Également associé à la société Ford, qui emploie des personnalités américaines influentes des deux camps démocrate et républicain, Carlyle – dont le frère de Ben Laden, Shafiq, est actionnaire – dispose d’un pouvoir d’influence quasi planétaire : pour obtenir des marchés liés aux armements, elle n’hésite pas à user de la pression politique et du trafic d’influence par le biais de ses dirigeants et de ses représentants. 
L’International Crisis Group (ICG), dont Soros est un membre influent, est une agence liée aux intérêts américains et probablement créée sur conseil du Département d’Etat. En tout cas, ses membres et son staff comprennent d’anciens chefs de l’OTAN, des ministres et de hauts responsables américains (Wesley Clark, ancien chef suprême de l’OTAN ; George Robertson, ancien secrétaire général de l’OTAN ; Zbigniew Brzezinski, le théoricien de l’impérialisme américain ; Morton Abramowitz), ainsi que des alliés des Etats-Unis comme Shimon Peres, Shlomo Ben-Ami (ancien ministre des A.E. israélien), Stanley Fischer (gouverneur de la Banque d’Israël), Christine Ockrent (la femme de Bernard Kouchner) ou le Prince Turki Al-Faisal (ancien chef des services de renseignement saoudiens) et beaucoup de personnalités connues pour leur amitié envers Israël. Évidemment, pour donner de la crédibilité au think tank, il y a Kofi Annan, Lakhdar Brahimi, El Baradeï… Car Georges Soros ne se contente pas de manipuler de jeunes écervelés : outre quelques consultants pour tromper la galerie, il contrôle des traîtres de plus grande envergure dont des généraux et des ministres, des personnalités au-dessus de tout soupçon (Arabes, musulmans, Africains, Sud-Américains, Asiatiques)  membres de l’ICG.

Les Frères musulmans, chouchous du sioniste Soros

L’Open Society Institute (OSI) a été créée en 1993 pour soutenir les associations Soros qui œuvrent pour le développement d’institutions «démocratiques» à travers l’Europe centrale et orientale et dans les pays de l’ancien bloc soviétique. Aujourd’hui, elle a élargi son programme qui touche plus de 60 pays avec un budget de près de 600 millions de dollars par an. Soros finance aussi plusieurs organismes et associations dont le Center for American Progress, dont l’expert en politique étrangère Brian Katulis défendait sur la chaîne MSNBC que les États-Unis devraient abandonner Moubarak et traiter avec les Frères musulmans, option préférée de Soros. Le milliardaire sioniste est aussi derrière la création d’un groupe de sénateurs qui font du lobbying, le PLM Group, au profit de l’Égypte islamiste à Washington. D’autres lobbies agissent dans le même sens au sein du Podesta Group et du Livingston Group et ont demandé une résolution du Sénat demandant des élections libres en Egypte, en pronostiquant sur les barbus mais en soutenant plusieurs chevaux de l’opposition cairote. George Soros a créé des ONG qui chapeautent le monde, et son International Crisis Group (ICG) est en passe de devenir un organe de pression et de décision international car il envoie ses rapports à des États arabes pour les instruire non seulement de respecter les «règles démocratiques» mais d’ouvrir le champ politique aux «islamistes» dits modérés, comme s’il y avait deux Islam, l’un modéré et l’autre extrémiste, alors qu’il n’y a qu’une seule religion pour les musulmans et ce qui est criminel ou extrémiste n’est pas de l’Islam. Tous les responsables politiques de la planète savent que l’ICG est un outil de pression de la Maison-Blanche. Soros met les barbus au centre de sa stratégie du divides ut regnes au profit du sionisme et de l’impérialisme, mais il finance et soutient à gauche et à droite, pourvu qu’il ait des collabos sous la main. Mal-aimé de beaucoup de sionistes qui ne comprennent que maintenant sa vision, il a mis le paquet en investissant dans les «révolutions» arabes qu’il a probablement préparées et planifiées avec Hillary Clinton. Dans une contribution publiée dans le Washington Post (3 février 2011) sous le titre «Pourquoi Obama devrait-il soutenir la droite égyptienne», Soros a écrit que si des élections libres se tenaient dans ce pays, les Frères musulmans pourraient y devenir «une force politique majeure, bien qu’elle serait loin d’avoir la majorité». Il a ajouté que la coopération des Frères musulmans avec El Baradeï est un «signe positif» dans le nouveau système politique… Même si on l’a écrit quelques lignes plus haut, rappelons que l’ancien responsable de l’AIEA est un membre important de sa fondation, l’ICG. Selon Soros, Israël aura beaucoup à gagner d’un «essaimage démocratique» au Moyen-Orient. Par cet euphémisme, il faut entendre cette anarchie et ces guerres interminables entre arabo-musulmans où les partis wahhabites foisonnent, semant la discorde, le takfir et l’excommunication. Misant sur les islamistes, George Soros aide la Maison-Blanche à reconfigurer le monde à l’avantage d’Israël et des États-Unis. Les Russes lui disent Go Home, les Arabes félons l'accueillent à bras ouverts. Les premiers sont avant tout fiers d'être Russes, les seconds sont surtout fiers d'être sunnites takfiristes, prêts à s'allier avec le diable pour zigouiller leurs compatriotes qui : ne font pas Ramadan, ne s'habillent pas en Kamis, ne portent pas l'estampille sur le front, ne portent pas le hijab, osent discuter des fatwas débiles, etc....Les motifs sont aussi nombreux que les islamistes eux-mêmes : plusieurs dizaines de millions.

BHL et Cohn-Bendit : persona non grata en Russie

Le faux philosophe et vrai sioniste BHL et l'ex eurodéputé pédophile Daniel Cohn-Bendit figurent sur la "liste noire" du Kremlin, qui leur interdit d'entrer sur le territoire russe en raison de leurs prises de position.
89 personnalités européennes sont interdites de territoire russe en réponse aux sanctions prises par Bruxelles.
L'UE avait elle-même allongé l'an dernier sa propre "liste noire", qui compte désormais quelque 150 noms et une quarantaine d'entités, et pris des mesures plus sévères contre la Russie, visant des pans entiers de l'économie.
Si 17 nationalités sont représentées, certains pays sont plus touchés que d'autres. Avec 18 "blacklistés", la Pologne est surreprésentée dans la liste, loin devant le Royaume-Uni (9 ressortissants), la Suède, l'Estonie (8), la Lituanie et l'Allemagne (7). 

Hannibal GENSERIC



[1]  Raytheon est une entreprise américaine qui est principalement dans les domaines des systèmes de défense et d'électronique et dans l'aérospatiale. En 2012, elle se classe au sixième rang mondial des ventes de matériel militaire.

[2] L'Open Society Foundations (OSF) est un réseau de fondations créé en 1993 par le milliardaire américain George Soros. Les objectifs de ce réseau sont de promouvoir la gouvernance démocratique, les droits de l'homme et des réformes économiques, sociales et légales.